« Moi, Julien » Saison 2 Episode 5 : Après Marion, Au Tour De Simon
Avec Marion nous avons passé tout le week-end à vivre en autarcie dans mon petit studio. Nous étions tout le temps nus à faire lamour et parfois accessoirement à se sustenter et à dormir pour reprendre des forces.
On a baisé dans le lit, plusieurs fois. Dans les toutes positions possibles ou presque
Sur le canapé, plusieurs fois aussi.
Je lai prise alors quelle était assise sur le tabouret du bar de la cuisine, accroché à moi comme si jétais une bouée de sauvetage.
Je lai également prise debout sous la douche par derrière, offerte, ses fesses en arrière, son corps cambré et sa tête contre la paroi en verre.
Elle me suçait dès quelle le pouvait. Elle a même avalé mon foutre pendant quon regardait un film qui ne devait pas trop la passionner, ou alors ma bite lintéressait plus, je ne sais pas. Je lai prévenue que jallais jouir pour quelle puisse sécarter. Mais au contraire, elle sest agrippée à ma queue alors que je mépanchais en elle, mes mains agrippées à ses cheveux et le souffle rauque. Elle mavouera plus tard que cest la première fois quelle avalait et quune fois la surprise passée, elle navait finalement pas détesté le gout de mon sperme.
Je lai léchée et doigtée jusquà la jouissance plusieurs fois aussi, dans la cuisine pendant quelle préparait une salade, sous la douche, ou alors dans le lit moi allongé sur le dos et elle à genoux sa chatte posée sur mon visage.
Dans un souffle, elle a même osé me demander de lenculer alors que je lui léchais son petit trou. Nous étions sur le lit et cette fois-ci je lai sodomisée en levrette mes mains cramponnées sur ses hanches fermes pendant que sa main droite sactivait frénétiquement sur son clitoris. Jai joui longuement au fond delle au même moment où elle poussait un dernier cri rauque de jouissance. Je me suis ensuite écroulé sur elle de fatigue. Je crois quon sest même endormi comme ça, ma queue toujours enfichée au fond de son cul béant.
Cela devait faire plus de 20 ans que je navais pas autant baisé en 2 jours. Nous étions comme des jeunes mariés en lune de miel. Mais le dimanche nos corps ont dit stop. Mon gland nen pouvait plus, mes couilles totalement vides, son vagin irrité et son clito criait pitié. On a fini la journée repus et tendrement enlacés.
Nous reprenions le boulot le lundi, les vacances étaient terminées. Marion est rentrée chez elle le dimanche soir. On sest quitté à regret, conscient que nous venions de partager un instant hors de temps gravé à jamais dans nos mémoires.
Et puis la folie de la vie parisienne nous a happés comme Kronos qui dévore ses s. Rythme infernal. Métro, boulot, dodo. On a quand même réussi à déjeuner ensemble un midi, le mercredi ou le jeudi je ne sais plus, sous les parasols dune terrasse baignée de soleil dune brasserie parisienne. Ce fut loccasion de partager un moment sympa et complice tous les deux.
Simon, lui, ma proposé de nous voir en début de semaine mais jai décliné à regret tant jétais encore fourbu du week-end. Je lai finalement invité le jeudi soir au studio. Je dois avouer que jappréhendais un peu nos retrouvailles. Cela faisait une semaine quon ne sétait pas vu. Est-ce que cela allait être pareil ou était-ce finalement juste une passade. Et finalement que pensait-il réellement de notre relation ? Décidemment je me posais bien trop de questions métaphysiques.
En sortant du boulot ce jeudi en fin daprès-midi, javais fait quelques emplettes pour le diner, pris une douche pour me rafraichir et mis quelques fringues que je trouvais à la fois décontracté et sexy. Javais prévu pour le diner une salade de saison, roquette, figue et copeaux de parmesan et un carpaccio de buf. En dessert des tartelettes de mirabelles fraiches, les premières de la saison, que javais trouvé fort appétissantes à la boulangerie. Un vin italien pour accompagner le tout.
La sonnette ma fait sursauter. Javais oublié quil connaissait le code de linterphone. Jai ouvert la porte sur un garçon toujours aussi bien habillé et charmant. Son sourire radieux, son rire ravageur et son baiser délicatement posé sur mes lèvres ont vite effacé mes doutes. Il avait apporté une bouteille de champagne frais quil sest empressé de déboucher pendant que japportais deux verres à vin. On a trinqué tous les deux, les bulles venant exploser sur mon palais tel un océan de fraicheur. Cela ma rappelé il y a tout juste 7 jours dans son agence lorsque je lavais sucé dans la remise. A cette idée je nai pu empêcher mon sexe de gonfler dans mon boxer. Jai failli lui sauter dessus mais jai réprimé mon envie. Je voulais avant profiter du diner pour savoir ce quil pensait réellement de nous deux.
On sest installé autour du bar pour diner. La conversation allait bon train. Son week-end chez des amis en province, le mien avec Marion dans le studio. Sur son insistance jai dû lui avouer quon avait baptisé chaque recoin du studio. On a bien ri lorsque jai juste hoché la tête alors quil me montrait des yeux le tabouret sur lequel il était assis.
Jai pris mon courage à deux mains pour lui poser la question qui me brulait les lèvres :
- Simon, je voudrais te parler de quelque chose.
- Oui quoi ?
- Mais je ne sais pas comment ten parler
- Tu sais, tu peux tout me dire
- Jai besoin de savoir quelque chose. Voilà, on se connait à peine depuis quelques jours et
- Et ?
- Et moi jai vraiment apprécié te rencontrer, jai passé de très bons moments avec toi et voilà je me lance, jaimerais bien continuer à te voir. Mais le truc, cest que je ne sais pas ce que toi tu en penses
- Tu te poses trop de questions Julien.
- Je sais
- A ton avis, si je suis là, cest pour quoi ?
- Je ne sais, peut-être juste pour un plan q de plus.
- Julien, tu as compris que jadore le sexe.
- Merci Simon, cela me touche beaucoup tu sais. Moi aussi je me sens bien avec toi et je suis en confiance. Cest un peu nouveau pour moi tout ça. Il y a Marion, il y a toi. Je suis en peu perdu mais en même temps, comme je lai dit à Marion, cela me conforte aussi dans mon choix de vivre ma bisexualité.
- Julien, je vais te rassurer, je ne suis pas jaloux de Marion. Je ne vais pas te demander de la quitter. Et puis qui serais-je pour demander cela ? Et je suis vraiment heureux pour toi que tu puisses connaitre le bonheur avec elle et avec toi. Donc arrête de te poser des questions et profite des moments présents !
En disant cela, il sest levé de son tabouret, sest approché de moi et ma embrassé à pleine bouche. Un baiser humide, sa langue saventurant sur mes lèvres et ma langue. Sa salive avait un gout sucré de mirabelles. Il me caressait les cheveux de sa main gauche pendant que la droite se promenait sur mon flanc et le bas de mon dos. Je me suis littéralement abandonné.
Il sest décollé à un instant pour que lon reprenne notre souffle. Il ma dit avec espièglerie « je crois que ton tabouret à toi na pas encore été baptisé » tout en déboutonnant mon jean. Jai senti sa main chaude sinsinuer sous lélastique de mon boxer et ses doigts prendre possession de ma bite déjà tendue. Il a fait quelques va et vient avant de sagenouiller devant moi pour dégager ma queue. Et en me regardant il la embouché. Putain que cétait bon de sentir ses lèvres chaudes autour de ma hampe et sa langue jouer avec mon gland.
Il sest relevé et de nouveau ma embrassé. Le gout était bien différent de tout à lheure alors quil me faisait partager les quelques gouttes de mon sperme quil navait pas avalées. Jétais vidé, les jambes tétanisées par le plaisir. Il ma souri en me tendant mon verre de vin pour trinquer.
- Je peux utiliser ta douche ? Ma-t-il demandé. Je nai pas eu le temps de passer à la maison après le boulot
- Fais comme chez toi, ai-je répondu. Il y a des serviettes propres sur létagère
Il est parti vers la salle de bain en se déshabillant sur le chemin. Une chemise par-là, une chaussette par ci, un pantalon jeté sur le canapé. Jai pu admirer ses jolies fesses moulées dans son slip blanc sur le pas de la porte de la salle de bain, avant quil ne se penche pour lenlever, se retourne et me le jette à travers le studio. Jai entendu leau de la douche couler alors que je regardais béatement son slip dans mes mains. Je lai posé sur le bar pour ranger le diner. Puis jai fumé une clope tranquille à la fenêtre du salon, les yeux dans le vague, lesprit vagabondant je ne sais où.
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